La partie physique du concours d’entrée en gendarmerie est constituée de 3 épreuves :
- Un parcours d’obstacles (http://www.dailymotion.com/video/x46lrt_epreuve-physique-gendarmerie-comple_news)
- Une simulation de combat (http://www.dailymotion.com/video/x46lrt_epreuve-physique-gendarmerie-comple_news)
- Un transport de poids (http://www.dailymotion.com/video/x46lrt_epreuve-physique-gendarmerie-comple_news)
Les deux premières épreuves sont chronométrées, une performance minimale insuffisante étant éliminatoire. Un échec au cours du transport de poids entraîne le retrait d’un point sur la note obtenue lors des ateliers précédents. Est éliminé tout candidat présentant une note inférieure à 6/20 lors des tests d’admission.
L’analyse du coach
Epreuve N°1
Ce parcours est un test d’évaluation classique de la puissance maximale aérobie (PMA). Les nombreux changements de directions, les phases d’accélérations/décélérations et les sauts présents dans le circuit entraînent une élévation rapide du rythme cardiaque. La puissance des membres inférieurs est particulièrement sollicitée.
Epreuve N°2
Cette simulation est intéressante, car elle permet l’évaluation du niveau de gainage du candidat au cours d’une épreuve en mouvement. C’est principalement la résistance de la musculature profonde (transverse, obliques, paravertébraux…) qui fera la différence. A noter toutefois la forte participation isométrique (statique) des fixateurs d’omoplates, des pectoraux, des bras, des avant-bras et des épaules.
Epreuve N°3
Le port d’une charge relativement lourde combiné au déplacement rendra l’exercice éprouvant d’un point de vue cardio-vasculaire. Là encore, la résistance isométrique des membres supérieurs, spécifiquement des biceps, jouera un rôle prépondérant quant à la réussite ou à l’échec de l’exercice.
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